FAMILLES SOUCHES : LES REDMOND
L’histoire d’Andrew Redmond
Par: Andrew Redmond

Les fils de Stephen Redmond : Oliver, Lynn, John, Stephen, Joe, Sylvester, futur maire de Saint-Georges, et le plus jeune, Andrew futur sénateur du Maine, probablement autour de 1925. Photo : Société historique Sartigan
La Société de Généalogie de la Beauce vous présente une partie du texte du livre de Andrew Redmond, tout un personnage. Né à Saint-Georges en 1920, entrepreneur forestier, sénateur du Maine pendant plusieurs termes, et entre autre, fondateur de la banque Border Trust à Jackman, dont plusieurs se rappellent.
Son frère était Sylvester Redmond, qui a été maire de Saint-Georges, et dont le fils Tom Redmond est maintenant conseiller municipal.
La famille Redmond est à Saint-Georges depuis plus de 172 ans. Dans le fief de Cumberland, Patrick Redmond, et Margaret Monahan sont mariés le 27-10-1842 à Saint-Georges, et s’intallent entre le 2ème et 6ème rang (voir Vézina & Anger). Joseph Redmond naît à Saint-Georges le 3 mars 1846. C’est l’arrière-arrière grand-père de Tom Redmond.
Dans cet extrait, Andrew Redmond, oncle de Tom, parle surtout de son père Stephen. Nous présentons la traduction intégrale de Mme Madeleine Laflamme Doyon, n’ayant pas osé modifier quoique ce soit, pour en préserver la saveur. Bonne lecture.
L’Héritage Français.
Ma mère, Marie Jeanne Grenier, était à peu près à la sixième génération du premier Grenier qui est venu au Canada de la Normandie dans les années 1600 et s’est établi près de la rivière Saint-Charles, dans la ville de Québec. Ses parents étaient Marie Veilleux et Olivier Grenier de Saint-Georges. Les Grenier étaient une famille de plusieurs bouchers et étaient propriétaires d’un abattoir. Ils se déplaçaient avec une petite voiture munie d’une boîte fermée et vendaient de la viande, s’arrêtant à chaque porte. Même si elle était née à Saint-Georges, la plupart des enfants plus jeunes étaient nés aux États-Unis. En 1896, une grosse crue des eaux détruisit un barrage et un moulin à scie au sud du village Morency. Le moulin étant fermé, Grand père Grenier attela ses chevaux et se rendit à Saint-Sébastien (environ 40 milles sur le chemin qui allait au Lac Mégantic), où il a travaillé comme bûcheron pour les Frères Price.
Si vous voyagez entre Saint-Georges et Lac Mégantic, vous passerez proche des grosses carrières de Saint-Sébastien. Les Frères Price possédaient du terrain qu’ils ont vendu plus tard au moulin de papier. Mon grand père avait l’habitude de construire des camps à deux étages et amenait presque toute la famille avec lui. Il n’amenait pas les filles, encore des jeunes adolescentes, dans les camps parmi les travailleurs alors il les envoyait à l’école au couvent de Saint-Georges. Les plus petites étaient enseignées par une grande sœur qui leur servait de professeur. Ils étaient environ treize dans la famille. Ma grand-mère était toujours enceinte, et avait la responsabilité de nourrir tout le personnel. La cuisine était au deuxième étage et les hommes dormaient au rez-de-chaussée. La salle à manger était au 2e afin de faciliter le service de la nourriture aux tables. Tout était servi sur la table dans de grands plats, exactement comme ça se faisait dans les camps de bûcherons. Ils ne restèrent pas très longtemps à Saint-Sébastien, mais continuèrent avec leurs chevaux et la famille vers les États-Unis.
De nombreux moulins à tisser étaient en construction dans les États de la Nouvelle-Angleterre. Les « Grenier » ont été engagés et sont déménagés directement à Fall River, Massachusetts où ils sont demeurés pendant environ cinq ans. Ils n’avaient pas besoin d’acheter une maison puisque les compagnies fournissaient des loyers.

Les filles de Stephen Redmond (1880-1940) et Marie-Jeanne Grenier(1883-1965), Loretta, Marie-Jeanne, Marie, Marguerite,Dorothy, France et Cécile. Photo : Société historique Sartigan
Le pire travail, ma mère avait l’habitude de dire, était de se débarrasser des coquerelles qui entraient venant de la cave, des entrepôts, et même des petits paniers à lunch dans lesquels ils apportaient leur diner au travail. Les enfants les plus jeunes allaient porter le repas à leur famille et mettaient la main au métier à tisser pendant que les plus vieux mangeaient leurs sandwiches. Les compagnies abusaient de cela en leur laissant faire ces choses afin de ne pas avoir à payer le temps d’arrêt pour le goûter.
Les « Grenier » déménagèrent à deux ou trois reprises, à chaque fois qu’il y avait une grève. Il y avait beaucoup de conflits de travail et les unions frappaient fort. Les « Grenier » ne voulant pas faire de démonstration avec des bannières aux cris des briseurs de grève. Ils voulaient seulement gagner leur vie, alors ils déménageaient où c’était plus paisible. Ils se rendirent à Woonsocket, Rhode Island, et ma mère a fréquenté l’école à Lawrence et à Lowell au Massachusetts. Après environ sept ans de déménagements en Nouvelle-Angleterre, ils s’installèrent à Anson, Maine, au tournant du siècle, où mon oncle Paul vivait.
Le plus âgé des fils de la famille, d’oncle Paul, Napoléon Grenier, n’avait pas travaillé dans les moulins. Il était resté dans l’industrie du bois tout comme son père à Saint-Sébastien. C’était, ce qu’il avait en tête et ne voulait pas avoir à tisser du fil de coton. Il voulait travailler à ce qu’il savait faire et s’était établi à Madison, Maine. Je crois que mon grand père pensait qu’il pouvait joindre ses forces à celles de son garçon et avoir une entreprise père-fils. Je sais que j’avais ces idées là moi-même, mais ça ne fonctionne pas toujours très bien. A mesure que les années passent, les temps changent. Apparemment ses plans ne se sont pas réalisés. Paul était assez bien établi avec sa propre entreprise et des associés. Alors c’est comme cela que les Grenier sont venus au Maine où mon père et ma mère se sont rencontrés.
Héritage irlandais.
Mon père était John Stephen Redmond, fils de Joseph Redmond et d’Elizabeth McNamara. Les familles irlandaises étaient descendues des bateaux à Québec. Je n’ai jamais lu l’Histoire irlandaise et mon père n’en parlait jamais. Mais ma mère était fière de lui, elle avait l’habitude de dire que les Irlandais étaient rejetés. Quelques uns sont venus à Saint-Georges. Le prêtre montait en chaire et disait à ses paroissiens : «Tenez-vous loin de ces Irlandais. Ils sont sales et porteurs de maladies. Restez loin d’eux ». Ce n’était pas une très belle manière de leur souhaiter la bienvenue.Je pense que c’est pour cela qu’ils se tenaient en clan. Quelques familles irlandaises tels les Redmond, McNamara, Donovan, White, et Mooney sont demeurés en Beauce. Ils se sont mariés entre eux et puis avec des Français. Par exemple, Mooney s’épelle maintenant « Moonin » par quelques-uns.
Le père de mon père, Joe Redmond, venait au Maine pour faire la drave.

Joseph Redmond, le père de Stephen Redmond, donc grand-père paternel de Sylvester et Andrew, photographié à Eau Claire, Wisconsin en 1865. Photo : Société historique Sartigan
Avant la construction des barrages à Skowhegan, les eaux de la Kennebec coulaient très, très rapidement. Les hommes gageaient une bouteille de gin que personne n’oserait descendre la rivière sur un billot. Grand père Redmond choisit son billot et descendit ces eaux tumultueuses. Il se retrouva sous l’eau et son chapeau a flotté. Ils disaient : « Voici la fin de Joe Redmond ». Soudainement il revint à la surface. Il a coulé comme cela trois fois, mais s’accrocha à son billot. Les gens de Saint-Georges pensaient que les Redmond étaient des gens un peu différent. J’ai essayé quelques fois de descendre sur un billot, mais jamais avec succès. Comme de raison, une consolation était que je n’avais pas réellement besoin de faire la drave, les temps avaient changé. Joe Redmond s’est marié à Elizabeth McNamara. Elle parlait français rarement et n’aimait pas cela; les choses allaient mieux en anglais.
Ils ont vécu dans la Concession Harbottle, dans le secteur de Cumberland à Saint-Georges, côté est, en allant vers le nord. Cumberland était le lieu où vivaient les Taylor and d’autres protestants où le terrain de golf de Saint-Georges est présentement. Il y avait peut-être quelques autres familles irlandaises. Mon père, Steve Redmond, est né vers 1887, mais a perdu son père quand il avait environ deux ans. Il a commencé à subvenir aux besoins de sa mère dès l’âge de douze ans. Il a fréquenté l’école seulement trois ans. Ma mère avait beaucoup de respect envers lui car il prenait soin de sa famille.
La première fois que mon père est venu au Maine, il avait douze ans. Il ne voulait pas utiliser la diligence parce que cela nécessitait environ trois semaines de son salaire pour payer le voyage. Alors il a marché avec son voisin et ami, Joe Sirois. Mon père a travaillé pour un gros fermier à Bingham comme bucheron. Le fermier a demandé à mon père de lui amener d’autres hommes pour travailler à la drave, alors il a amené ses amis au printemps. Par la suite pendant l’été et l’automne, il a travaillé dans des camps de bûcherons. Les bûcherons qui coupaient des billots en ce temps là étaient généralement des gros fermiers des environs qui possédaient une paire de chevaux.
Mariage des parents et enfance.
Avant le tournant du siècle, mon père et ma mère se sont rencontrés près ou proche du barrage à billots (LOGGING BOOMS) dans la ville de Madison. Elle vendait des billets pour un tirage afin d’amasser de l’argent pour la construction d’une église catholique. Tous les Canadiens étaient catholiques et il y avait différents groupes ethniques à Madison, mais la ville n’avait pas d’église catholique. Les moulins ont amené beaucoup de gens. Une chose très importante était la construction de cette église. Ma mère et une autre femme savaient que les draveurs seraient payés comptant et ont décidé de les rejoindre avant qu’ils aillent dans les bars. Le premier qu’elle a rencontré fut mon père.
Ils se sont plu, alors elle l’a invité à la maison de ses parents pour le souper. Une fois à la maison ils ont découvert qu’ils connaissaient les mêmes personnes de Saint-Georges. Ils se sont mariés en 1905 à Madison. Juste avant le mariage à la maison, son frère avait grimpé l’échelle et coupé une branche. Mais il était trop près des fils électriques, il pleuvait, il a pris le courant et fut brûlé sérieusement. Il n’en est pas mort, mais c’était un événement important à leur mariage, je peux vous le dire! Elle était seule de sa famille à revenir vivre au Canada. Mon père et ma mère ont décidé d’élever leur famille à Saint-Georges. Ils ont amené grand mère McNamara vivre avec eux et on parlait anglais dans la maison. De cette façon les enfants ont été élevés bilingues.

Photo de Andrew Redmond prise le 30 avril 1940 par Joël Poulin, photographe de Saint-Georges. Un printemps doux. Photo : Société historique Sartigan
Mon père était un jeune homme actif. Il a sauvé des gens lors de l’inondation de 1896. Vivant proche de la rivière presque tout le monde avait un bateau à rames. Quelques fermiers avaient de beaux et grands terrains plats, un peu éloignés mais durant cette inondation certains ont retrouvé leur maison au milieu de La Chaudière. Baptiste Labbé était un homme fort. Il a élevé une grosse famille en dehors de Saint-Georges et avait une bonne maison solide. Elle n’était pas dans le courant, mais quand les secouristes sont arrivés à lui il était en train de sauver deux petits cochons. En premier, il les avait amenés dans la maison puis était à les monter au grenier quand les chaloupes sont venues à son secours.
La Beauce avait la réputation d’avoir de bons bucherons. Mon père aimait se faire remarquer sur La Chaudière. Il demandait à quelqu’un d’amener un des enfants sur le pilier du pont dans le milieu de la rivière, quand les billots descendaient. Il choisissait un billot avec sa gaffe, tenait l’enfant sur son épaule et manœuvrait sur ce billot jusqu’à la rive en face de notre maison. Il était toujours sérieux dans tout, mais quand il faisait quelque chose c’était tout ou rien. Il était très orgueilleux.

Andrew J. Redmond, né le 21 décembre 1920, est décédé le 4 novembre 2000, après une vie plus que bien remplie.
Mon père avait fait la drave dans le Maine, mais avait du travail à Saint-Georges. Il travaillait comme bras droit d’un entrepreneur nommé Sillsby du Maine qui avait acheté des lots de bois sur la rivière Famine, dans les environs de Saint-Georges. Il avait besoin de quelqu’un qui connaissait les courants même si ce n’était pas une très grosse rivière. Ils ont construit le barrage à Sevois. Nous avions l’habitude d’aller nous baigner là quand j’étais jeune. Mon père s’occupait de voir à la coupe de bois de Sillsby et même a aidé à bâtir son moulin à scie à Saint-Georges. C’était pratique puisque les travailleurs du moulin pouvaient vivre chez eux. Le bois doit avoir été pas mal pour usage local; sans train venant à Saint-Georges ils n’auraient pas pu transporter le bois coupé très loin. Quand M. Sillsby est parti, aux environs de 1908, il a dit à mon père : Vous avez été très bon envers moi. Nous avons eu du bon temps et maintenant le travail est complété je vais vous donner le moulin à scie et les deux maisons pour les gens du moulin principal (KEY MILL).
Mon père a refusé son offre. Il était très compétent mais ne voulait pas essayer de faire rien lui-même. Il était plus à l’aise comme opérateur, plus habitué d’engager des gens et trouver le bon travail pour eux. S’il y avait des montagnes, il savait où trouver des travailleurs à qui il n’avait pas à montrer comment attacher une chaîne ou un groupe de billots, pour contrôler la charge lors d’une descente (HITCH a bridle chain or HITCH A BUNCH) derrière un traîneau (sleigh). Il dit à Sillsby : « Je ne suis pas un homme de moulin. J’avais un bon travail pour vous mais c’était parce nous engagions les bonnes personnes. Je ne veux pas de moulin ». Un autre homme de Saint-Georges acheta le moulin et l’a déménagé sur sa propriété. Ma mère nous racontait ces choses; mon père n’en parlait jamais.
Mon père alors commença à travailler pour la compagnie Brown qui possédait des lots à bois dans la ligne de partage des eaux La Rivière Du Loup qui se jetait dans La Chaudière en haut de Saint-Georges. M. Brady était en charge du bureau de la Compagnie Brown à Saint-Georges. La compagnie devait acheminer les billots au moyen de la drave sur La Chaudière jusqu’à plus ou moins vingt milles de Lévis. A Scott Jonction les billots étaient retiré de la rivière à l’aide d’un convoyeur, ceux-ci tombaient dans des wagons ouverts puis étaient transportés par train jusqu’à la Compagnie de sacs de papier Saint-Laurent à Trois-Rivières.
La Compagnie Brown offrit un travail à mon père au New Hampshire. Ils avaient d’autres exploitations le long du sentier Arnold entre Eustis, Maine et Woburn, Québec, vers le barrage Aziscohoos. Leur campement était sur la rivière Megalloway en direction d’Errol, New Hampshire où la rivière Androscoggin prenait sa source. C’était terrible, les routes n’avaient jamais été améliorées. Les Model-T Ford devaient monter certaines montagnes en marche arrière vu qu’il y avait plus de pouvoir en vitesse arrière. Mon père se rendit au campement mais resta seulement une semaine. Il quitta la Compagnie Brown à peu près au temps de ma naissance en 1920.

Sylvester Redmond, au centre, maire de Saint-Georges et frère de Andrew, a été interviewé par Barry Rodrigue, auteur du livre: Andrew Redmond, Andrew Redmond, Borderlands Entrepreneur ; sous la direction de Barry Rodrigue et Warren Strout, Madison, Maine : Andrew Redmond, 1994-95.
Ce n’était pas pratique pour lui de continuer ce travail. Il avait dix enfants. Même si la compagnie voulait le payer davantage et lui laisser l’auto pour voyager, c’était une situation complètement différente à ce qu’il était habitué. Les chemins n’étaient pas entretenus en hiver. Il aurait pu se déplacer par train mais aurait eu à se rendre à Sherbrooke, puis faire un transfert. Sa conscience ne lui permettait pas alors il a quitté. Les gens de Saint-Georges étaient inquiets. Ma mère me disait que les gens lui demandaient : « Qu’est-ce que Steve Redmond va faire? » Il avait été l’homme avec le plus haut salaire à Saint-Georges. Il avait fréquenté l’école peut-être jusqu’au troisième degré, mais c’est l’expérience qui compte.
Le livre
Pour en connaître d’avantage sur l’histoire d’Andrew il vous faut consulter son livre : Andrew Redmond, Andrew Redmond, Borderlands Entrepreneur ; sous la direction de Barry Rodrigue et Warren Strout, Madison, Maine : Andrew Redmond, 1994-95.
Les entrevues ont été réalisées avec M. Andrew Redmond et M.Sylvester Redmond en, 1993-94, par M. Barry Rodrigue, à Saint-Georges, Québec et à Madison, Maine; NA 2325, (C1155B-1178B).
Traduction : Mme Madeleine Laflamme Doyon
NOTE : Il y a une copie de ce livre à la Société historique Sartigan
Généalogie de la famille Redmond (Irlandais)
1- Les parents de Patrick Redmond sont : John Redmond et Mary Murphy
2-Les parents de Joseph Redmond sont : Patrick Redmond et Margaret
Monahan (mariés le 27-10-1842 à Saint-Georges)
3-Les parents de Stephen Redmond sont : Joseph Redmond et Elizabeth
McNamara (mariés le 30-08-1875 à Saint-Georges)
Les parents de Marie-Jeanne Grenier sont : Olivier Grenier et Marie Veilleux
4- Les enfants de Stephen Redmond et Marie-Jeanne Grenier :
Frances Redmond, Cécile Redmond, Dorothy Redmond, Joseph Redmond (Cécile Loubier), Johnny Redmond, Leonor Redmond (Olive), Olivier Redmond (Florence Morin), Marguerite Redmond (Maurice Veilleux), Loretta Redmond, Marie Redmond,
Andrew Redmond(Normande Loubier) :
Les enfants de Andrew et Normande : William Redmond (Julie), Lillian Redmond (Tom), Mark Redmond (Beth), Audrey Redmond, Pierre Redmond (Laurie), Andrew Redmond,
Sylvester Redmond (marchand de bois-vendeur de machineries-échevin-maire) (Thérèse Poirier) :
Les enfants de Sylvester et Thérèse : Tom Redmond (Louise Gosselin), Georges Redmond (Renée Meilleux), James Redmond (Suzanne Brochu)
Leurs petits-enfants : William John et Mary Jane, Mélissa et Steven, Patrick Michael et David
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La Société de Généalogie de la Beauce vous présente des capsules historiques et généalogiques sur l’histoire des familles de la Beauce et des environs. Certaines seront courtes et d’autres plus étoffées. La généalogie, impliquant beaucoup plus qu’un arbre avec des noms sur les feuilles, permet d’amasser des bribes du passé que nous nous ferons un plaisir de partager avec vous.
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Une photo prise à Lowell, Mass., tiré de l’album de la famille Redmond, un couple non-identifié, mais quelle belle photo !