C’EST PARTI POUR 10 ANS
Beauce Art : des partenaires solides

Le président de Beauce Art, monsieur Paul Baillargeon, et monsieur Jean-Louis Roy, président d’honneur de la première édition ; deux cousins qui ont grandi dans Saint-Georges Ouest tout près l’un de l’autre. Des amis d’enfance quoi !
En présence, notamment du président, Paul Baillargeon, de monsieur Jean-Louis Roy, président d’honneur de la première édition et de plusieurs personnes impliquées dans le projet, Beauce Art : L’International de sculpture présentait ses « solides partenaires », le lundi 16 juin.
À compter du 9 août prochain, 10 sculpteurs provenant de plus de deux douzaines de pays de la francophonie se « produiront », si on veut, à Saint-Georges cet été, et pour 9 autres étés. On vise 100 sculptures, qui seront données à la ville comme un legs.
Monsieur Roy mentionnait que ce serait l’occasion de recevoir des membres de différentes ambassades à travers le monde et que « nous voulons créer une activité qui trouvera écho à travers la grande francophonie ».
Le président Baillargeon était heureux d’annoncer « que de grands noms du monde des affaires s’associent aux arts et à notre symposium ». Une trentaine de partenaires est en effet associé au projet, dont les majeurs sont Groupe Canam, Garaga, Aluminerie Alouette, Image de Mark, Boa Franc et Placement Raymond Doyon.
Une occasion de rappeler que « les arts, c’est pour tout le monde », rappelle Paul Baillargeon.
Rappelons que monsieur Jean-Louis Roy est ex-rédacteur en chef du Devoir, ex-délégué du Québec à Paris et ex-secrétaire général de l’Organisation internationale de la Francophonie (OIF). Vu les problèmes de santé du secrétaire général actuel, Abou Diouf, c’est monsieur Roy qui le remplacera jusqu’à la fin de son mandat.

Quelques livres de Jean-Louis Roy que vous pouvez retrouver au troisième étage du centre culturel Marie-Fitzback avec les modèles réduits des futures sculptures.
Un projet pour une décade, un grand projet pour la Beauce, le Québec, le Canada et la Francophonie. On dirait que Saint-Georges va être sur la « map » mondiale.