Potins divers et d’hiver
Des choses qu’on voit çà et là
Il s’agit d’un peu d’observation pour s’apercevoir qu’il se passe des choses auxquelles on accorde pas vraiment d’attention, mais qui peuvent s’avérer intéressantes. Il s’agit d’observer, mais surtout d’avoir le temps, et Dieu sait que nous ne l’avons pas tous, de s’arrêter pour stationner, s’avancer, vérifier, et photographier. Nous l’avons fait pour vous.
C’est comme ça qu’en grimpant un peu, que le barrage est apparu. Il fallait y penser, se stationner et grimper sans vraiment savoir ce qu’il y avait au-delà du banc de neige.
Le barrage
Voici l’état des faits, à date de pas longtemps, on pourrait dire à partir de tout de suite, pour le barrage sur la rivière Chaudière, du côté sud de la ville de Saint-Georges. Il y a une sorte de nouveau, en fait, de la nouvelle construction que voici. Qu’est-ce?
Dans la petite région de Saint-Georges, nous avons un barrage voué peut-être à une éternelle rénovation, un peu comme le feu éternel de l’enfer, mais avec de l’eau. Sera-t-il rouvert un jour, on ne peut que spéculer. Il y a cette nouvelle construction, mais à quoi sert-elle? On ne sait pas. Il s’agit d’attendre 2 ou 3 ans encore et on saura. Peut-être. C’est donc beau quand même.
Pin! Pon! Pin! Pon!
Les ambulanciers, c’est réglé. Ils ont eu ce qu’ils ont pu avoir. Espérons qu’ils ont eu au moins une partie de ce qu’ils voulaient, parce que les ambulanciers, c’est extrêmement important. Ils travaillent fort, dans des conditions quelquefois difficiles, très difficiles, et de temps en temps, abominablement difficiles, et tout ça pour arriver à transporter les maganés aux médecins.
On peut s’entendre sur le fait que si le magané ne se rend pas au médecin, le dit magané n’a pas grand chance de s’en sortir. Alors ce serait mieux de très bien traiter ceux qui amènent ou apportent les blessés aux traitants. Question d’en sauver plus.
Le désert dans la neige
Photographié au centre-ville récemment, une licence de l’Arizona (à laquelle a été effacé un chiffre, question de confidentialité). On ne peut que souhaiter qu’il apprécie son voyage dans le moins zéro profond. Vu d’ici, quitter le soleil de l’Arizona, c’est pour mieux l’apprécier au retour.
Le froid n’est pas fini, ça ne fait que commencer, mais ce n’est qu’une autre année au Québec. Bonne route ou bon cocooning.