COBARIC ET RUISSEAU D’ARDOISE.
Publication d’un atlas du réseau hydrographique de son bassin versant
Un projet réalisé en collaboration avec le COBARIC, le ruisseau d’ardoise, à Saint-Georges seulement.
Un atlas du réseau hydrographique du bassin versant de la rivière Chaudière peut maintenant être téléchargé sur le site Internet du Comité de bassin de la rivière Chaudière (COBARIC). Cet atlas permet d’identifier 170 plans d’eau (lacs, étangs) et quelque 390 cours d’eau (rivières, ruisseaux) dans le bassin versant de la rivière Chaudière. Mentionnons que plusieurs autres plans et cours d’eau sont présents dans le bassin versant, mais ne possèdent pas de toponyme officiel.
Le document se divise en sept sections qui correspondent aux quatre principaux sous- bassins du territoire, soit les sous-bassins de la rivière Beaurivage, du Bras Saint-Victor, de la rivière Famine et de la rivière du Loup, en plus des trois secteurs de la rivière Chaudière, soit la Basse-Chaudière, la Moyenne-Chaudière et la Haute- Chaudière. Chaque section contient une carte, une liste des cours d’eau et une liste des plans d’eau.
Avec cet atlas, le COBARIC espère faciliter la recherche et améliorer le niveau de connaissance de la population concernant le bassin versant de la rivière Chaudière et son réseau hydrographique. Pour télécharger le document, vous n’avez qu’à vous rendre sur la page d’accueil du site Internet du COBARIC à l’adresse suivante : www.cobaric.qc.ca.
Rappelons que le COBARIC a comme mission d’organiser, dans une perspective de développement durable, la gestion intégrée de l’eau à l’échelle du bassin versant de la rivière Chaudière. Il agit auprès des usagers de l’eau du bassin versant de la rivière Chaudière afin de favoriser la pérennité de la ressource eau par la concertation et la participation des usagers de l’eau du territoire.
Le ruisseau d’ardoise en vedette
Un projet du COBARIC a été réalisé à Saint-Georges entre septembre 2009 et le printemps 2011.
L’atlas du bassin versant que vient de publier le COBARIC
Le site du COBARIC décrit le projet. En voici un extrait : « Le ruisseau d’Ardoise draine un territoire de 22,3 kilomètres carrés, s’étendant de Saint-Philibert à Saint-Georges. À lui seul, il est d’une longueur de 11,2 km, mais avec les quatre ruisseaux qui s’y déversent, cela totalise 23,5 km de cours d’eau ».
On est un peu surpris de lire en tous petits caractères que « la portion du ruisseau visée par ce projet est celle comprise dans le périmètre urbain de la ville de Saint-Georges. Cette portion est d’une longueur de 3,7 km, et draine un territoire de 3,3 km2.
On a donc travaillé en aval et non en amont. Les experts savent des choses que les humbles mortels ne savent pas. Voyez les détails sur leur site : http://www.cobaric.qc.ca/Ardoise.htm
