Rémi Jacques : stagiaire d’un jour au bureau de comté de Beauce-Sud
Par: Joffre Grondin
Le député Paul Busque et Rémi Jacques, stagiaire d’un jour bien rempli.
Il n’est pas rare de manifester un intérêt pour quelque chose alors qu’on est très jeune. Ce qui est beaucoup plus rare est de prendre des actions concrètes pour explorer cet intérêt. Rémi Jacques, un élève de secondaire 4 de la Polyvalente Bélanger de Saint-Martin, l’a fait, et a été accepté stagiaire d’un jour au bureau de comté du député de Beauce-Sud à l’Assemblée nationale, Paul Busque.
Ayant un intérêt marqué pour la politique, ce jeune homme originaire de La Guadeloupe souhaitait comprendre le fonctionnement du bureau de comté ainsi que les divers rôles exercés par un député à l’Assemblée nationale.
Appuyé par son enseignant d’histoire, Jean-Pierre Lagueux, il a fait la demande au député, Paul Busque, qui lui a ouvert les portes de son bureau.
Lors de cette journée bien remplie, Rémi a eu l’occasion d’avoir un entretien privé avec le député de Beauce-Sud, d’échanger avec les membres du personnel, et même participer à une des nombreuses fonctions de représentations qui incombent à un député, en l’occurrence, la première pelletée de terre soulignant la construction d’un complexe multifonctionnel à Saint-Prosper.
Un jeune homme enchanté de sa journée
Le chaleureux accueil du bureau du député a été très enrichissant pour Rémi Jacques. Son incursion dans le monde de la politique a confirmé son intérêt.
« J’ai été surpris de voir que l’implication d’un député pouvait évoquer autant de travail sur le terrain. Ça m’a permis de comprendre qu’un élu doit être à l’écoute de la population et de leurs besoins afin de faire avancer une région », a déclaré ce qu’on pourrait qualifier le futur politicien en potentiel.
Pour sa part, le député Paul Busque a avoué être « très impressionné par la curiosité de Rémi ainsi que de son intérêt pour la politique à un si jeune âge . »
« Comme député à l’Assemblée nationale, je crois fermement à l’importance d’intéresser davantage nos jeunes à la politique parce qu’ils représentent notre richesse, mais aussi l’avenir de notre démocratie », a soutenu le député.
