Maxime Bernier et la crise économique mondiale
La Chambre de commerce et d’industrie Nouvelle-Beauce est heureuse de recevoir, Maxime Bernier, député de Beauce et ministre d’État (Petite entreprise et Tourisme) en dîner-conférence. Le conférencier attaquera le sujet : « Comment sortir de la crise économique mondiale » à La cache à Maxime à Scott.
Une analyse sera faite de l’approche keynésienne pour résoudre les crises économiques par monsieur Bernier. Il donnera une réponse à cette question brûlante : Pourquoi l’augmentation des dépenses publiques échoue-t-elle à stimuler l’économie, et crée plutôt une crise de la dette souveraine ?
Il sera question des crises économiques précédentes et du fait que la clé de la réussite, selon lui, consiste à mettre l’accent sur le secteur privé : restriction des dépenses, réduction des taxes et des impôts, création de traités de libre-échange et réduction de l’intervention gouvernementale.
À titre de membre du conseil des ministres du gouvernement Harper, il sera possible d’échanger avec lui sur les autres enjeux fédéraux.
La conférence se tient le jeudi 15 novembre 2012 à 11 h 45 à La cache à Maxime, au 265, avenue Drouin à Scott.
La date limite d’inscription est le 13 novembre à 16 h, au coût de 40 $ pour les membres et de 60 $ pour les non-membres (taxes et service inclus)
Pour s’inscrire, signalez le 418-387-2006, au 1-866-387-2006 ou en ligne à [email protected]
Un mot sur ce Keynes
La crise actuelle donne à la théorie keynésienne une nouvelle jeunesse, mais l’essentiel de la théorie a été présentée par John Maynard Keynes en 1936 dans son ouvrage : « Théorie générale de l’emploi, de l’intérêt et la monnaie ». La théorie a connu un succès considérable après la guerre et de nombreux pays l’ont adoptée après la guerre de 39-45.
Si vous êtes assez curieux pour aller voir là http://www.comptanat.fr/general/keynes1.pdf , vous y lirez que « Keynes montre d’une manière indiscutable que, dans une économie fermée, c’est-à-dire sans relation avec l’extérieur, l’épargne globale est nécessairement égale à l’investissement global ». Si vous lisez le tout, vous serez surpris de constater que malgré tant de géniales théories, tous les pays sont encore plus que jamais « dans le trou ».